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quand Versailles a refusé de prendre Eric Roy en coach

Scout aux États-Unis, passé par le Stade de Reims et Versailles, Enzo Djebali était l’invité de RMC Mercato, la nouvelle émission digitale à retrouver en direct chaque jeudi dès 13h sur la chaîne Twitch RMC Sport. Il a livré une anecdote au sujet d’Eric Roy.

C’est un choix qui avait surpris tout le monde. En janvier 2023, quelques semaines après avoir renvoyé Michel Der Zakarian, le Stade Brestois avait décidé de se tourner vers Eric Roy pour assurer sa mission maintien. Un pari pour le moins osé puisque l’ancien milieu de terrain n’avait plus exercé sur un banc depuis une expérience de huit mois à l’OGC Nice lors de la saison 2010-2011. Deux ans plus tard, les doutes des premiers jours paraissent bien loin. Avec lui, les Bretons ont fait mieux que se sauver : ils ont découvert pour la première fois la Ligue des champions et sont même assurés de disputer au moins les barrages.

“J’ai senti le football vrai en lui parlant”

Avant d’atterrir à Brest, celui qui a désormais gagné le surnom de “King Eric” aurait pourtant pu poser ses valises… à Versailles. C’est ce qu’a expliqué Enzo Djebali, scout aux États-Unis, passé par le Stade de Reims et Versailles, dans RMC Mercato, la nouvelle émission digitale à retrouver en direct chaque jeudi dès 13h sur la chaîne Twitch RMC Sport. “Je suis arrivé à Versailles dans un contexte un peu tendu après la mise à pied de l’entraîneur Youssef Chibhi (en novembre 2022). Il fallait choisir un coach, faire une short-list. Le président a choisi Cris, un choix que j’ai approuvé, on avait besoin d’expérience en National. Mais on avait sondé un autre coach : Eric Roy”, a témoigné Enzo Djebali.

Et de poursuivre: “Aujourd’hui, il est adoubé par tout le monde, mais à l’époque, quand on m’a parlé d’Eric Roy, ça a fait grincer des dents en interne. On m’a dit: ‘Eric Roy, ce n’est plus un coach, c’est un directeur sportif. Il fait partie de l’ancien monde.’ Je connaissais déjà Eric, je l’avais rencontré lors de tournois de jeunes, je connaissais ses qualités humaines et sa connaissance du football. J’ai senti le football vrai en lui parlant, il n’est pas dans le faux semblant.” “Il n’a pas dit ce qu’on aime bien entendre dans les entretiens d’embauche. Lui a très vite compris ce qui n’allait pas. Il a aussi parlé data, de filières de passes… C’est un mec cash, clair, simple”, a loué Enzo Djebali.

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