Libre depuis son départ de la Juventus et autorisé à reprendre la compétition en mars à la fin de sa suspension pour dopage, Paul Pogba ne veut pas accepter n’importe quelle offre. Le milieu est ambitieux et veut jouer la Ligue des champions.

Déterminé à retrouver les terrains au plus vite… mais pas n’importe où. Libre depuis la fin de son aventure à la Juventus, et bientôt autorisé à rejouer après sa suspension pour dopage, Paul Pogba (31 ans) a évoqué son avenir, au cours d’un live Twitch avec le streameur français AmineMaTue. Et il a des critères ambitieux en tête.

“La Russie, ce n’est pas l’objectif”

“Il y a des propositions, après il y a des trucs intéressants, et des trucs pas très intéressants… La Russie, tout ça, il y a eu des propositions, mais ce n’est pas l’objectif. On a d’autres objectifs. Un club qui joue la Ligue des champions? Pourquoi pas. Si ça vient, bien sûr, pourquoi pas. On veut toujours être dans les meilleurs clubs. Après ça ne dépend pas de moi, ça dépend de plein d’autres choses.”

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Suspendu quatre ans pour dopage après avoir été contrôlé positif à la testostérone en août 2023, Paul Pogba a vu sa sanction réduite à 18 mois par le tribunal arbitral du sport (TAS) en octobre dernier. Le milieu pourra rejouer dès mars 2025 et peut d’ores et déjà s’entraîner depuis janvier. Ces dernières semaines, le nom de Pogba est revenu avec insistance du côté de l’OM où Adrien Rabiot, son partenaire en équipe de France, lui a adressé plusieurs appels du pied.

En décembre lors de son bilan de mi-saison face à la presse, Pablo Longoria avait rendu une réponse ambigüe sur la possibilité de recruter l’international français à l’OM. “En ce moment, il n’y a pas de discussion avancée pour différents motifs”, avait-il déclaré. “Je respecte énormément ce joueur, de classe mondiale. On doit analyser la situation car il est dans le mercato.” Le dirigeant avait expliqué qu’il ne fermait pas la porte, tout en insistant sur l’absence de discussions. “Pour l’instant, ce sont plutôt des spéculations et un rêve, plus qu’une réalité”, avait-il conclu.