Auteur d’une grosse saison jusque-là, Alexander Isak intéresserait plusieurs cadors européens, dont certains en Premier League. Mais d’après le Telegraph, Newcastle a fixé le montant pour laisser filer l’attaquant suédois : 180 millions d’euros, rien que ça.
Il avait démarré la saison timidement, avec un petit but lors des 8 premières journées. Mais depuis un déplacement à Chelsea fin octobre, Alexander Isak enchaîne comme rarement : le Suédois en est à 11 buts sur ses 10 derniers matchs de Premier League. De quoi en faire le troisième meilleur buteur du championnat, avec 11 réalisations, derrière Salah, Haaland et Palmer, qui ont tous joué au moins un match de plus que lui.
En Angleterre, cela fait un moment que les cadors l’observent. Chelsea et surtout Arsenal, en quête d’un numéro 9 de renommée, aimeraient bien ramener le Suédois à Londres. Mais Newcastle, où Isak est arrivé à l’été 2022 , ne compte pas laisser filer sa pépite pour une bouchée de pain.
D’après le Telegraph, les Magpies ont fixé leur prix à 180 millions d’euros. Un chiffre ahurissant, même si les transferts entre clubs anglais atteignent parfois des sommets. Recruté pour 70 millions d’euros il y a deux ans et demi, Alexander Isak, sous contrat jusqu’en 2028, a vu sa valeur nettement augmenter. Mais peut-être pas dans ces sphères-là.
Les clubs anglais presque tous intéressés
L’été dernier, Chelsea avait déjà tenté une approche, d’après la presse britannique, mais le club londonien avait été refroidi par les demandes de Newcastle. Arsenal, de son côté, est un admirateur de longue date du joueur. Isak, qui ne cache pas être fan de Thierry Henry (et qui porte le n°14), pourrait donc être tenté par une aventure à l’Emirates. Même Liverpool aurait un oeil sur le Suédois, en cas de départ de Mohamed Salah.
Les candidats existent aussi hors d’Angleterre : il est question du Real et du Barça en Espagne, où le joueur a déjà évolué avec la Sociedad, et même du PSG. Mais pour le moment, Alexander Isak lui-même répète qu’il est heureux à Newcastle et qu’on départ n’est pas à l’ordre du jour.
